La prostitution toujours en débat

Le 13 avril 2016 , les députés français votaient la loi supprimant le délit de racolage pour les prostitués et établissant la pénalisation des clients . Malgré la remise en question de ce texte avec les arguments des associations , selon lequel ce texte portait atteinte à la «libertés d’entreprendre»et à la « liberté sexuelle » , Le 28 décembre 2018 ces arguments ont était rejetés par le Conseil Constitutionnelle qui l’ont déclaré « conforme » à la loi d’avril 2016 . Deux opinion différentes s’affrontent avec qui estimés qu’ils cherchaient à « lutter contre la traite » et le proxénétisme comme nous renseigne LEDAUPHINE et ceux qui pense que la loi entrave à la libertés sexuelle .

Neuf associations , dont Médecine du monde et le syndicat du travail sexuel , et une trentaine de travailleurs du sexe étaient  à l’origine de cette question contre la loi qui prévoit une amende pouvant aller jusqu’à 1500 euros et 3750 euros en cas de récidive . Pour protéger les prostitués et ainsi ne plus avoir de problèmes frauduleux , la députés Valérie Gomez-Bassac propose de rouvrir les maisons closes qui sont interditess depuis 73 ans . Ces idées qui ne semblent pas plaire a tous le monde notamment aux syndicat du travailleurs du sexe . Alors faut-il rouvrir les maisons closes ? c’est ce que CAPITAL pose comme question afin d’ouvrir le débat .