En cette année de 2018, on constate que la démission d’une activité dans la politique, touche d’autres pays, eh bien oui ! Elle ne touche pas que la France avec Nicolas Hulot, et autres, malheureusement l’Israël en fait partie, tiens ! Pourquoi Avigdor Lieberman, ministre de la Défense renonce-t-il à un tel poste avantageux ? D’après Libération, il abandonne son travail après « le cessez-le-feu à Gaza », cette nouvelle choquante fut annoncée ce mercredi 14 novembre. Selon ce libérateur d’informations actuelles, on apprend que ce fut le « lendemain d’un accord indirectement conclu par Israël avec les groupes palestiniens » sur ce fameux cessez-le feu de la bande de Gaza. Mais que s’est-il donc passé dans la bande de Gaza ? D’ailleurs, pourquoi on ne peut pas dire, Gaza tout court ? Il faut distinguer Gaza et la bande Gaza puisque les deux ne signifient pas la même chose parce que Gaza n’est qu’une ville parmi la bande de Gaza qui n’est que la région dans la Palestine. Alors, dans cette région, il y a eu l’intervention des forces spéciales israéliennes qui a mis le feu aux poudres, dimanche dernier. L’objectif de cette mission n’est pas énoncé, d’ailleurs était-ce important de l’énoncer, évidement parce que la Palestine et l’Israël sont en conflit depuis déjà des années, eh oui ! Ce conflit date du 14 mai 1948, vous imaginez tout le temps que cela a duré, près de 70 ans et tristement, elle est toujours en cours. Mais pourquoi avoir cessez-le-feu puisqu’ils sont en conflit ? Le Hamas qui est un mouvement islamiste contrôlant la bande de Gaza a riposté aux attaques israéliennes. Le feu du combat commença, mais fut « cessez » parce que le premier ministre d’Israël déclara : « Je ne reculerai pas devant une guerre nécessaire mais je veux l’éviter si elle n’est pas indispensable » d’après Le Monde

Lieberman pense que ce serait une « capitulation face au terrorisme » ainsi critique « la coalition de Benyamin Nétanyahou » d’après Libération. «Lieberman est le dernier à joindre les coalitions et le premier à démissionner : il en a fait sa politique, résume Gideon Rahat, professeur de sciences politiques à l’Université hébraïque de Jérusalem. Cette fois, il quitte le poste le plus prestigieux, après celui de Premier ministre, ce qui n’est jamais évident.» Telle serait la citation la plus adéquate à retenir de cet évènement marquant !