Plusieurs études ont démontré que les plaquages pouvaient entraîner des commotions cérébrales,comme dans le cas de Nicolas Chauvin,un jeune homme de 20 ans mort au centre hospitalier universitaire de Bordeaux Trois jours plus tôt, il avait été admis en réanimation après avoir subi le plaquage de deux adversaires lors d’un match.

Cette tragédie relance le débat sur la violence des impacts au rugby.Le neurochirurgien Jean Chazal,un habitué du rugby français,estime qu’il faudrait instaurer de nouvelles pratiques pour les plaquages...En effet,ces plaquages sont des actes brutaux qui pourraient entraîner de violents chocs au niveau de la cage thoracique ou encore des commotions cardiaques.