Le jeudi 1er Novembre Amnesty International, publie un communiqué indiquant le fait que dix-neuf militants et avocats des droits de l’homme se sont fait arrête. Il y avait huit femmes et onze hommes.
Ses arrestations multiples ont eut des répercutions. Selon Amnesty International une ONG locale, la Commission égyptienne des droits et libertés, a suspendue ses activités à cause du «climat hostile» qui s’étend à la société civile.
Parmi les individus arrêtés figurent Hoda Abeldomein, une avocate de 60 ans qui à une époque à été membre du Conseil national des droits humains.
Les forces de l’ordre auraient selon des sources de Amnesty International fait irruption et saccagé son domicile et l’aurait emmené vers une destination encore inconnue à ce jour.
C’est l’avocat Abdel Moneim Abdel Masqoud qui a révélé l’arrestation jeudi à l’aube. Certains des arrêtés seraient des proches des Frère Musulman qui sont, on le rappelle, une organisation trans nationaliste islamique sunnite.
L’une des femmes kidnappée n’est-autre que Aicha Khairat Al-Chater, fille de l’un des dirigeants de la confrérie Mohamed Abdelmoneim. Mais également son mari Hoda Abdelmoneim et un avocat défenseur des droits humains Mohamed Abou Horayra. (Le Monde)
Hubert Noah